Depuis des années nous avons exclu Dieu de nos vies, de nos écoles, nous l’avons placé entre quatre murs, figé en images pour en faire une tradition qui nous a toujours plu ou au moins arrangé. Et ce Dieu que l’on accuse de tout, chaque jour, ne s’impose pas, Il s’est retiré peu à peu, nous laissant libre sur ce slogan "Il est interdit d’interdire !!"
Quelqu’un a déclaré que ce que nous faisons dans notre vie privée n’a aucune importance pourvu que nous le vivions bien et que nous puissions passer à autre chose pour profiter de tout car la vie est courte.
Comment peut-on s’attendre à Sa bénédiction et à Sa protection, si par nos agissements, nous Lui faisons savoir qu’Il doit nous laisser tranquille?
Nous avons estimé que des experts en matière infantile devaient savoir de quoi il parlait : nous ne devons pas corriger et punir nos enfants s’ils se comportent mal : "leurs personnalités pourraient être contusionnées et leur conscience du "moi" pourrait être détruite" et nous avons approuvé.
Et nous nous posons des questions, pourquoi nos enfants n’ont plus de conscience ? Pourquoi ils ne savent plus faire la différence entre le bien et le mal ? Pourquoi ils n’hésitent pas au raquette, à violer, à se suicider, à tuer dans les écoles…?
Quelqu’un a dit de supprimer la prière à l’école, nous l’avons laissé faire et nous avons approuvé. Un autre a demandé de ne plus lire la bible pour la remplacer par des leçons de morale, nous l’avons laissé faire et nous avons approuvé.
Un autre pensa qu’en présentant la nudité des femmes sur le petit écran familial augmenterai l’audimat et les ventes des produits. Pour continuer à promouvoir l’exaltation de la femme nue, des revues ont vu le jour. Nous avons laissé faire et nous avons approuvé.
Puis cette grande industrie du spectacle toujours plus créatrice que jamais. Présente de plus en plus de "télé réalité", le dernier en vogue sur nos écrans "L’Amour Aveugle". Et les films qui diffusent brutalité, meurtres, violence sous toutes ses formes et sans oublier la perversion sexuelle. La musique vaste domaine qui exalte : les meurtres, les viols, les cultes sataniques, les suicides et les drogués. Et nous disons "mais ne vous inquiétez pas, il n’y a pas de risque, personne ne sera touché, ce n’est que de la distraction !" , et nous avons laissé faire.
Si nous continuons à tout permettre et à tout approuver, ne nous plaignons pas de la situation catastrophique dans laquelle nous nous trouvons dans ce monde.
Un autre pensa élargir et promouvoir le domaine de la nudité par Internet, en publiant des photos, des vidéos d’hommes et de femmes nues, mais aussi d’enfants. Nous avons approuvé et soutenu le droit de chacun à exprimer son opinion sur sa sexualité et la pornographie.
Un autre a suggéré que nos filles puissent avoir accès à la pilule du lendemain et aussi avorter si elles le désirent, sans le dire à leurs parents. Nous avons laissé faire et nous avons approuvé.
Et nous sommes fort étonnés de constater que la cruauté, les obscénités, la vulgarité et la violence se propagent comme un fleuve pollué via Internet, alors qu’une discussion ouverte au sujet de Jésus-Christ est déplacée et réprimée dans la société et surtout dans es écoles.
Il est tout de même curieux de voir à quel point il est facile pour l’homme et la femme de mettre Dieu de côté et d’être étonné de ce que le monde se précipite dans un chaos sans retour possible.
Combien nous croyons d’avantage ce que nous rapportent les médias, mais combien il nous est facile de douter de ce que dit la Bible.
Peut-être pourrons-nous en découvrir la raison si nous y réfléchissons sérieusement ?
Gal. 6. 7 : nous récoltons ce que nous avons semé.
Que Dieu vous bénisse.
